Au revoir Kyoto, ville de ma jeunesse !
Voila un petit mot pour dire que c’est la fin, la vraie cette fois. Alors comme tous les Expat’ qui se sont éclaté cette année, je suis triste. C’est dur de dire au revoir à des gens avec qui finalement je m’entends aussi bien qu’avec mes potes en France, même si ça fait qu’un an qu’on se connaît, que l’on vient littéralement de tous les continents (sauf d’Afrique, faut pas déconner non plus) et avec des milieux sociaux complètement différents. Et même si je suis sur de revoir ceux avec qui j’ai été les plus proches (il y en a un avec qui je fais une colloc’ l’année prochaine, d’autres que je reverrais aux Etats-Unis (voyage prévu l’été prochain) ou encore avec ceux qui viendront passer du bon temps sur Bordeaux l’année prochaine) ca fait bizarre de se dire "à bientot".
Le plus dur dans cette (fin d’)histoire c’est de quitter sa chambre. Son appart’ que l’on a bichonné toute l’année, que l'on l’a arrangé tant bien que mal à son gout de Septembre à Juillet, avec posters, photos, souvenirs, calligraphie. Et soudain en une journée, on doit effacer toute trace de présence, tout doit être parfaitement comme avant, le tout en étant seul dans sa chambre avec une musique mélancolique.
Il y a aussi le fait de se dire presque tout le temps « Ah ça c’était la dernière fois que je le faisais » : manger un Yakiniku, prendre un bain au Sento, boire une bière sur le toit, fumer une chicha avec ses potes, le dernier repas à la cantine (qui est génial je vous le rappelle).Bref le blues de l’Expat’, mais bon cela montre que je me suis bien éclaté aussi, car si je n’étais que content de rentrer en France cela voudrais dire que cette année aurait été pourrie.
Le plus dur dans cette (fin d’)histoire c’est de quitter sa chambre. Son appart’ que l’on a bichonné toute l’année, que l'on l’a arrangé tant bien que mal à son gout de Septembre à Juillet, avec posters, photos, souvenirs, calligraphie. Et soudain en une journée, on doit effacer toute trace de présence, tout doit être parfaitement comme avant, le tout en étant seul dans sa chambre avec une musique mélancolique.
Il y a aussi le fait de se dire presque tout le temps « Ah ça c’était la dernière fois que je le faisais » : manger un Yakiniku, prendre un bain au Sento, boire une bière sur le toit, fumer une chicha avec ses potes, le dernier repas à la cantine (qui est génial je vous le rappelle).Bref le blues de l’Expat’, mais bon cela montre que je me suis bien éclaté aussi, car si je n’étais que content de rentrer en France cela voudrais dire que cette année aurait été pourrie.
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